La rue du Commerce (nord)
La carte postale du début du XXe siècle invente une Grande Rue qui n’a pas existé à Ballan et ignore la délibération municipale de 1882 qui nomme Rue de la Mairie la rue principale du bourg (le drapeau accroché à l’immeuble des “Trois Marchands” est visible au centre de la photo) et l’actuelle rue du Commerce et son unique activité commerciale.
La Rue du Commerce (sud)
La rue du Commerce (partie sud) – La rue n’a porté le nom de rue de la Gare qu’entre 1948 et 1959. La partie sud de la rue du Commerce est encore très verdoyante.
La rue du Maréchal Foch (est)
La rue du Maréchal Foch (partie est) Beaucoup de monde devant le photographe à l’entrée de la rue des Hautes Atelles ! Jusque dans les années 1920, l’auberge du Cheval Rouge de Georges Fournier est un lieu de rencontre et une des tables renommées de notre commune. L’immeuble qui abritait l’auberge est le seul qui a été reconstruit. Une autre modification importante, fortement rappelée sur la chaussée, est l’instauration d’un sens unique qui fait de la rue une pénétrante pour le trafic venant de Miré.
La rue du Maréchal Foch (ouest)
La rue du Maréchal Foch (partie ouest). Au début du XXe siècle, la rue des Hautes Atelles est animée par plusieurs boutiques et ateliers d’artisans. La rue du Maréchal Foch actuelle a gardé le même bâti. Elle n’est plus qu’un lieu de passage pour les Ballanais habitant à l’ouest du bourg.
La rue de l’Hospitalité
La rue de l’Hospitalité. Le Rougemont est le nom de cette demeure qui paraît bien isolée. La rue de l’Hospitalité tire son nom de l’établissement de charité créé par la famille Salvador. L’immeuble portant le nom de Rougemont sur la vue ancienne est encore repérable et le nom de la rue n’a pas changé.
La rue du Général Leclerc
La rue du Général Leclerc. Au début du XXe siècle, la poste s’installe dans un immeuble du côté gauche. Cependant, à cette époque, cette rue est toujours officiellement dénommée rue du Cimetière, avant de devenir, en 1948, rue du Général Leclerc. La partie ouest de l’actuelle rue du Général Leclerc : seul, le côté pair a été entièrement transformé.
La place de l’Église
La place de l’Église Depuis 1860, l’unique place publique de Ballan est agrandie et l’espace libéré est ombragé de platanes, déjà de belle taille sur cette carte postale. Le côté ouest (à gauche de la carte postale) et le fond de la place ont été totalement modifiés ; en revanche, les mêmes immeubles peuvent être repérés sur le côté est.
La rue de l’Étang
La rue de l’Étang. De la rue de l’Étang, le photographe avait alors une large vue générale sur le bourg de Ballan, son clocher, mais ne pouvait même pas entrevoir l’étang. La rue de l’Étang de 2021 apparaît plus “verte”, alors que l’habitat s’y est densifié. En un siècle, le trafic a explosé et les aménagements ont pour principal objectif de freiner la vitesse des véhicules.
Le boulevard du Général De Gaulle
le boulevard du Général de Gaulle (la route de Chinon) Dans l’Entre-deux-guerres, les pompes à essence et deux restaurants animent le carrefour de la route de Chinon. Un quartier en sommeil, dans l’attente d’une réorganisation.
Le Vieil Étang
Le Vieil Étang. Intitulée “ Un pâturage tourangeau ”, cette carte postale ancienne est l’une des plus célèbres du peintre – photographe -musicien ballanais André Mauxion. À plus d’un siècle d’écart, un cliché d’aujourd’hui permet de montrer que l’endroit a peu changé. La digue du vieil étang, le chemin et les bâtiments rénovés de l’ancienne métairie de la Taillerie sont toujours présents.
Le giratoire du Grand Moulin
Le giratoire du Grand Moulin. Pour tous les Ballanais, le carrefour des départementales 7 et 127 a longtemps été désigné par le nom du café-restaurant “Les Touristes”, point de passage obligé et cœur animé “des Vallées”. Le carrefour est maintenant marqué par un giratoire auquel a été donné le nom du Grand Moulin pourtant distant de plus d’un demi-kilomètre.